Histoire de la masturbation
Article déposé le 26 octobre 2009
Jusqu'au XVIIIème siècle, dans nos sociétés occidentales dirigées par l'Eglise, la masturbation féminine comme masculine est considérée comme démoniaque.
A la fin du XVIIIème siècle (siècle des lumières) et jusqu'à la dernière guerre mondiale, avec le début de la nosographie (inventaire des maladies mentales), la masturbation relève d'un comportement pathologique.
On passe ainsi des représentations magiques liées au pouvoir religieux aux représentations cliniques liées au pouvoir médical. Le but de l'un comme de l'autre converge vers un seul et même objectif : la répression d'un plaisir sexuel hors procréation.
En effet, la masturbation est perçue comme un obstacle à la procréation.
En 1948 ET en 1953, il ressort des rapports Kinsey que la masturbation est une norme quotidienne. Les mouvements féministes prônent ainsi la masturbation dans la quête du plaisir sexuel obtenu sans recours au coït.
Aujourd'hui, la masturbation est pensée comme une activité quasi incontournable avec une représentation sexuelle, érotique et pédagogique.
En séxothérapie, la masturbation peut être une prescription thérapeutique et/ou éducative car elle est partie intégrante du développement de la fonction érotique.
Jusqu'au XVIIIème siècle, dans nos sociétés occidentales dirigées par l'Eglise, la masturbation féminine comme masculine est considérée comme démoniaque.
A la fin du XVIIIème siècle (siècle des lumières) et jusqu'à la dernière guerre mondiale, avec le début de la nosographie (inventaire des maladies mentales), la masturbation relève d'un comportement pathologique.
On passe ainsi des représentations magiques liées au pouvoir religieux aux représentations cliniques liées au pouvoir médical. Le but de l'un comme de l'autre converge vers un seul et même objectif : la répression d'un plaisir sexuel hors procréation.
En effet, la masturbation est perçue comme un obstacle à la procréation.
En 1948 ET en 1953, il ressort des rapports Kinsey que la masturbation est une norme quotidienne. Les mouvements féministes prônent ainsi la masturbation dans la quête du plaisir sexuel obtenu sans recours au coït.
Aujourd'hui, la masturbation est pensée comme une activité quasi incontournable avec une représentation sexuelle, érotique et pédagogique.
En séxothérapie, la masturbation peut être une prescription thérapeutique et/ou éducative car elle est partie intégrante du développement de la fonction érotique.
Classé dans : Sexothérapie - Sexologie
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